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"Les Visiteurs : La Révolution": Jean-Marie Poiré retrouve Christian Clavier et Jean Reno
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Retrouvez dans ce dossier le duo inénarrable composé de Jean Reno et Christian Clavier. Ils sont bien entourés d’une pléiade de talents : Franck Dubosc, Karin Viard, Marie-Anne Chazel, Sylvie Testud, Frédérique Bel, Alex Lutz, Christian Hecq, Pascal N'zonzi, Nicolas Vaude, Ary Abittan et la belge Stéphanie Crayencour...
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"Les Visiteurs: La Révolution": Jean-Marie Poiré retrouve Christian Clavier et Jean Reno
Retrouvez dans ce dossier le duo inénarrable composé de Jean Reno et Christian Clavier. Ils sont entourés d’une pléïade de talents : Franck Dubosc, Karin Viard, Marie-Anne Chazel, Sylvie Testud, Frédérique Bel, Alex Lutz, Ary Abittan et la belge Stéphanie Crayencour... Découvrez également la bande-annonce, les photos et les personnages du film.
Les Visiteurs: La Révolution, de Jean-Marie Poiré, sera disponible dans le catalogue à la demande de Proximus TV dès le 6 août 2016.
Appuyez sur la touche ON DEMAND de votre télécommande et sélectionnez CHERCHER DANS LE SHOP.
Les Visiteurs: La Révolution, de Jean-Marie Poiré, sera disponible dans le catalogue à la demande de Proximus TV dès le 6 août 2016.
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Une nouvelle aventure
Bloqués dans les couloirs du temps, Godefroy de Montmirail (Jean Reno) et son fidèle serviteur Jacquouille (Christian Clavier) sont projetés dans une époque de profonds bouleversements politiques et sociaux : La Révolution française. Période de grands dangers pendant laquelle les descendants de Jacquouille La Fripouille, révolutionnaires convaincus, confisquent le château et tous les biens des Montmirail, aristocrates arrogants en fuite, dont la vie ne tient qu’à un fil.
Ce qu’en dit Jean-Marie Poiré
Jean-Marie Poiré est le célèbre scénariste, réalisateur et producteur des Visiteurs. Il raconte comment l’idée de ce film a germé.
« Tout a commencé en compagnie de Christian Clavier, dans un avion. Une étincelle, une envie. On discutait de projets, de sujets, de différentes choses… Et puis, tout à coup, on s’est posé la question : est-ce qu’on pourrait trouver une idée suffisamment intéressante et drôle pour donner une nouvelle suite aux Visiteurs ? «
« L’élément déclencheur repose évidemment sur les acteurs. Christian et Jean sont non seulement immensément populaires chacun de leur côté, mais ils sont aussi un véritable duo de cinéma que le public aime voir. On s’est demandé si le fait de les retrouver plus âgés n’allait pas dérouter le public. »
« Tout a commencé en compagnie de Christian Clavier, dans un avion. Une étincelle, une envie. On discutait de projets, de sujets, de différentes choses… Et puis, tout à coup, on s’est posé la question : est-ce qu’on pourrait trouver une idée suffisamment intéressante et drôle pour donner une nouvelle suite aux Visiteurs ? «
« L’élément déclencheur repose évidemment sur les acteurs. Christian et Jean sont non seulement immensément populaires chacun de leur côté, mais ils sont aussi un véritable duo de cinéma que le public aime voir. On s’est demandé si le fait de les retrouver plus âgés n’allait pas dérouter le public. »
Christian Clavier : Jacquouille et Jacquouillet
Christian Clavier est scénariste et producteur. Il interprète aussi Jacquouille et Jacquouillet (accusateur public). Il parle de son envie de faire « Les Visiteurs : La Révolution » :
« Le désir de ce film m’est venu brutalement, comme ça : j’ai eu envie de retravailler avec Jean-Marie Poiré. On a évidemment pensé à la suite des « Visiteurs – Les couloirs du temps », à la fin duquel les deux héros, prisonniers du temps, se retrouvaient bloqués à l’époque de la Révolution. Il était hors de question de faire une simple suite en retrouvant le même genre de scènes tournées différemment. Ce qui nous intéressait par contre, c’était cette période de la Terreur, la plus dure de la Révolution, celle où les Français s’affrontent le plus. »
« La première scène qui m’est venue est celle du dîner avec Robespierre et la recherche du changement de nom éventuel de Jacquouille. On a ri comme des bossus et partant de là, j’ai esquissé tous les personnages. »
« Le désir de ce film m’est venu brutalement, comme ça : j’ai eu envie de retravailler avec Jean-Marie Poiré. On a évidemment pensé à la suite des « Visiteurs – Les couloirs du temps », à la fin duquel les deux héros, prisonniers du temps, se retrouvaient bloqués à l’époque de la Révolution. Il était hors de question de faire une simple suite en retrouvant le même genre de scènes tournées différemment. Ce qui nous intéressait par contre, c’était cette période de la Terreur, la plus dure de la Révolution, celle où les Français s’affrontent le plus. »
« La première scène qui m’est venue est celle du dîner avec Robespierre et la recherche du changement de nom éventuel de Jacquouille. On a ri comme des bossus et partant de là, j’ai esquissé tous les personnages. »
La Révolution française
« La Révolution, c’est le moment clé de l’histoire de France où la société bascule. Les gueux deviennent les puissants, et les puissants commencent à être fragiles, à s’apercevoir que leur pouvoir n’est pas de droit divin. Les cartes sont rebattues. »
« Notre but au départ, c’était de savoir ce qu’il se passe quand on est confronté à son arrière-arrière-arrière-arrière-grand-père, selon qu’il était un révolutionnaire important ou un noble en fuite. C’est passionnant. On est un pays d’Histoire. Les Français adorent l’Histoire et moi aussi, parce que cela nous apprend beaucoup sur notre présent », explique Christian Clavier.
« Notre but au départ, c’était de savoir ce qu’il se passe quand on est confronté à son arrière-arrière-arrière-arrière-grand-père, selon qu’il était un révolutionnaire important ou un noble en fuite. C’est passionnant. On est un pays d’Histoire. Les Français adorent l’Histoire et moi aussi, parce que cela nous apprend beaucoup sur notre présent », explique Christian Clavier.
Les descendants de Jacquouille
Christian Clavier dit:
« Dans "Les Visiteurs : La Révolution", on s’intéresse aux deux héros et à leurs descendants. Les descendants de Jacquouille sont en train de prendre le château aux descendants de Godefroy. Les Montmirail, qui étaient autrefois des nobles médiévaux, des gens extraordinairement violents, guerriers, protecteurs pour leurs villages, sont devenus des courtisans irresponsables, décadents et incapables de défendre qui que ce soit. »
« À l’inverse, les descendants de Jacquouille sont devenus des révolutionnaires, ils commencent à avoir l’envie de posséder, de diriger, comme c’est souvent le cas dans les révolutions. On prend la place de l’autre, avec les injustices que cela peut engendrer. Et on en joue dans le film ! »
« Dans "Les Visiteurs : La Révolution", on s’intéresse aux deux héros et à leurs descendants. Les descendants de Jacquouille sont en train de prendre le château aux descendants de Godefroy. Les Montmirail, qui étaient autrefois des nobles médiévaux, des gens extraordinairement violents, guerriers, protecteurs pour leurs villages, sont devenus des courtisans irresponsables, décadents et incapables de défendre qui que ce soit. »
« À l’inverse, les descendants de Jacquouille sont devenus des révolutionnaires, ils commencent à avoir l’envie de posséder, de diriger, comme c’est souvent le cas dans les révolutions. On prend la place de l’autre, avec les injustices que cela peut engendrer. Et on en joue dans le film ! »
Clavier parle de Jacquouille
"Les Visiteurs" occupent une place absolument à part dans mon parcours, car ils ont été mon plus gros succès. Ce film a changé ma carrière, mon statut d’acteur ; il m’a ouvert la possibilité de monter des films, d’en écrire, et a révélé beaucoup d’opportunités. »
« Mon personnage, Jacquouille, est un survivant. Il se débrouille pour s’en sortir in extremis, il a peur de l’environnement extérieur, il arrive d’un monde très dur pour lui, et en même temps il a une dimension enfantine qui fait que sa curiosité est sans limite. Dans une situation dangereuse, il a peur tout en se montrant intrépide. »
« Jacquouille a déjà découvert la République et le monde moderne, il revient donc à l’époque de la Révolution avec une vision qui est celle de notre époque, il a compris certains principes qui lui ont permis d’apprécier le monde moderne. Il va devenir un peu plus finaud que ce qu’il était, et en même temps il est tiraillé par des sentiments contradictoires. »
« Mon personnage, Jacquouille, est un survivant. Il se débrouille pour s’en sortir in extremis, il a peur de l’environnement extérieur, il arrive d’un monde très dur pour lui, et en même temps il a une dimension enfantine qui fait que sa curiosité est sans limite. Dans une situation dangereuse, il a peur tout en se montrant intrépide. »
« Jacquouille a déjà découvert la République et le monde moderne, il revient donc à l’époque de la Révolution avec une vision qui est celle de notre époque, il a compris certains principes qui lui ont permis d’apprécier le monde moderne. Il va devenir un peu plus finaud que ce qu’il était, et en même temps il est tiraillé par des sentiments contradictoires. »
Jean Reno : Godefroy de Montmirail
L'acteur Jean Reno raconte :
« Je suis là en grande partie parce que c’est une histoire nouvelle, rafraîchissante, une histoire avec des acteurs et actrices de la nouvelle génération, une histoire qui se déroule pendant la Terreur, donc à un moment de l’Histoire très chargé. »
« Avec Jean-Marie Poiré, on a retrouvé toute la connivence. Et avec Christian, j’ai retrouvé notre complicité et notre alchimie immédiatement. Les situations sont nouvelles, mais les rapports ne sont pas différents, donc c’est revenu tout de suite. »
« Je suis là en grande partie parce que c’est une histoire nouvelle, rafraîchissante, une histoire avec des acteurs et actrices de la nouvelle génération, une histoire qui se déroule pendant la Terreur, donc à un moment de l’Histoire très chargé. »
« Avec Jean-Marie Poiré, on a retrouvé toute la connivence. Et avec Christian, j’ai retrouvé notre complicité et notre alchimie immédiatement. Les situations sont nouvelles, mais les rapports ne sont pas différents, donc c’est revenu tout de suite. »
Jean Reno
« Dans cette nouvelle histoire, mon serviteur, Jacquouille, est devenu plus intelligent, en tout cas plus informé qu’avant. Il sait beaucoup de choses à présent, ce qui m’empêche de le manipuler comme je le faisais autrefois. Je lui dis des choses vraies, mais il a du mal à me croire parce qu’il a d’autres connaissances, d’autres envies, il a goûté à des choses plus modernes – des robinets par exemple, avec eau chaude et eau froide, des interrupteurs, des bagnoles même – et donc il regrette ce temps-là. Il me casse les pieds parce que j’ai du mal à le convaincre de continuer à voyager dans le temps. »
Franc Dubosc : Gonzague de Montmirail
Franc Dubosc joue le rôle de Gonzague de Montmirail, un Noble progressiste, député de la Convention.
« Gonzague de Montmirail, est un descendant de Godefroy. C’est lui qui va assurer la descendance et la continuité de la famille des Montmirail. C’est un couard ! Contrairement au reste de la famille, il a choisi d’aller dans le sens du moment, d’être révolutionnaire et de s’élever contre la noblesse. Pas par conviction, mais par peur : il a peur, comme tous ceux qui réfléchissent à cette époque. Là, le fait d’avoir peur et d’être lâche apporte une dimension de comédie. »
« Il y avait dans ce scénario des personnages que j’avais découverts en Histoire à l’école … mais finalement, il est inutile de connaître l’histoire de France pour rire ou comprendre ce film. Christian et Jean-Marie l’ont remarquablement écrit, on voit bien ce qu’a été la Terreur. Il ne faisait pas bon vivre à cette époque-là, cela pouvait vous tomber dessus de n’importe quel côté. »
« Gonzague de Montmirail, est un descendant de Godefroy. C’est lui qui va assurer la descendance et la continuité de la famille des Montmirail. C’est un couard ! Contrairement au reste de la famille, il a choisi d’aller dans le sens du moment, d’être révolutionnaire et de s’élever contre la noblesse. Pas par conviction, mais par peur : il a peur, comme tous ceux qui réfléchissent à cette époque. Là, le fait d’avoir peur et d’être lâche apporte une dimension de comédie. »
« Il y avait dans ce scénario des personnages que j’avais découverts en Histoire à l’école … mais finalement, il est inutile de connaître l’histoire de France pour rire ou comprendre ce film. Christian et Jean-Marie l’ont remarquablement écrit, on voit bien ce qu’a été la Terreur. Il ne faisait pas bon vivre à cette époque-là, cela pouvait vous tomber dessus de n’importe quel côté. »
Karin Viard : Comtesse Adélaïde de Montmirail
"Je joue Adélaïde de Montmirail, qui fait partie de la famille de Godefroy de Montmirail. Je suis noble, mon mari est mort peu de temps auparavant, j’ai deux petits enfants. Il y a aussi des enfants d’un premier lit de mon mari, qui sont donc mes beaux-enfants, joués par Franck Dubosc, Alex Lutz et Stéphanie Crayencour. Mes beaux-enfants ont le même âge que moi ! Les rapports sont tendus, ils me détestent et je le leur rends bien."
"La comtesse aime la reine, elle aime le roi, elle ne comprend pas que c’est la fin des privilèges, elle veut continuer à manger de la brioche. Elle ne mesure pas réellement ce qui se joue. Elle voit bien que le monde change, y compris au sein de sa propre famille puisque son beau-fils joué par Franck Dubosc est un député de la Révolution, mais elle trouve cela ridicule et attend que ça passe. Elle ne peut pas imaginer ce que va être la Révolution française. En plus elle est en province : on décapite à Paris, mais en province ce n’est pas pareil."
"Je n’avais jamais interprété ce genre de personnage (…). C’est évidemment très jouissif. C’est grandiose, les décors sont somptueux, et en même temps c’est une grande blague qu’on fait. On joue potache, c’est drôle, c’est vraiment très irrévérencieux et ça, c’est délicieux."
"La comtesse aime la reine, elle aime le roi, elle ne comprend pas que c’est la fin des privilèges, elle veut continuer à manger de la brioche. Elle ne mesure pas réellement ce qui se joue. Elle voit bien que le monde change, y compris au sein de sa propre famille puisque son beau-fils joué par Franck Dubosc est un député de la Révolution, mais elle trouve cela ridicule et attend que ça passe. Elle ne peut pas imaginer ce que va être la Révolution française. En plus elle est en province : on décapite à Paris, mais en province ce n’est pas pareil."
"Je n’avais jamais interprété ce genre de personnage (…). C’est évidemment très jouissif. C’est grandiose, les décors sont somptueux, et en même temps c’est une grande blague qu’on fait. On joue potache, c’est drôle, c’est vraiment très irrévérencieux et ça, c’est délicieux."
Sylvie Testud : Charlotte Robespierre
"J’interprète Charlotte Robespierre, la sœur de Robespierre. C’est une révolutionnaire, très engagée dans la politique et dans les droits, mais qui en même temps aspire à une grande souplesse. Avec Jean-Marie et Christian, on l’a imaginée comme quelqu’un d’extrêmement charmant mais qui va jusqu’au bout quand elle a une idée. Cela donne un personnage attachant, mais en même temps que l’on peut craindre. »
« Dans son rapport de couple avec Jacquouillet, elle a un ascendant très fort et très marqué sur lui. Étant l’accusateur public, Jacquouillet est redouté des nobles et de tous les gens qui craignent la Révolution, mais chez lui il est complètement dominé par sa femme. Elle ne le domine pas par la force mais en étant plus vive d’esprit que lui, réellement engagée, plus droite. »
« J’étais extrêmement étonnée, parce que normalement on ne fait pas appel à quelqu’un comme moi pour ce genre de films. J’étais très flattée mais en même temps très inquiète : est-ce que j’allais y arriver ? Normalement on m’appelle pour des choses beaucoup plus lourdes et sombres, donc là j’ai pris ça vraiment pour une fleur, et même une brassée de fleurs. »
« Dans son rapport de couple avec Jacquouillet, elle a un ascendant très fort et très marqué sur lui. Étant l’accusateur public, Jacquouillet est redouté des nobles et de tous les gens qui craignent la Révolution, mais chez lui il est complètement dominé par sa femme. Elle ne le domine pas par la force mais en étant plus vive d’esprit que lui, réellement engagée, plus droite. »
« J’étais extrêmement étonnée, parce que normalement on ne fait pas appel à quelqu’un comme moi pour ce genre de films. J’étais très flattée mais en même temps très inquiète : est-ce que j’allais y arriver ? Normalement on m’appelle pour des choses beaucoup plus lourdes et sombres, donc là j’ai pris ça vraiment pour une fleur, et même une brassée de fleurs. »
Marie-Anne Chazel : Prune
Marie-Anne Chazel joue le rôle de Prune, concierge de l’immeuble du Député, sans-culotte, fan de Robespierre.
"Prune, le nouveau personnage que j’interprète est l’ancêtre de Dame Ginette. C’est une femme du peuple, rouquine comme elle – c’est la trace ADN de la lignée ! C’est une révolutionnaire convaincue. Elle est emballée par ce changement, elle l’attend, elle est très contente que les nobles, dont elle subit la morgue et le mépris payent enfin. Elle soutient à fond le Comité de salut public et c’est une fan de Robespierre, une groupie même. J’imagine que c’est elle qui a inventé les produits dérivés : elle a des boucles d’oreilles qui représentent une guillotine, des cocardes, des médailles, c’est vraiment une bonne révolutionnaire".
"Avec Philibert, son concubin, Prune représente l’avenir, ceux qui croient à ce changement de société, de rapport de force. Pour autant, elle n’est ni particulièrement sympathique ni particulièrement gentille.
J’ai appris très vite l’existence du projet, et j’ai su qu’il y aurait un personnage de la famille de Dame Ginette. Mais je ne la joue pas comme Dame Ginette. Elle, elle a vraiment une ligne, une fonction, elle représente la faction extrême du peuple Les Sans-culotte".
"Prune, le nouveau personnage que j’interprète est l’ancêtre de Dame Ginette. C’est une femme du peuple, rouquine comme elle – c’est la trace ADN de la lignée ! C’est une révolutionnaire convaincue. Elle est emballée par ce changement, elle l’attend, elle est très contente que les nobles, dont elle subit la morgue et le mépris payent enfin. Elle soutient à fond le Comité de salut public et c’est une fan de Robespierre, une groupie même. J’imagine que c’est elle qui a inventé les produits dérivés : elle a des boucles d’oreilles qui représentent une guillotine, des cocardes, des médailles, c’est vraiment une bonne révolutionnaire".
"Avec Philibert, son concubin, Prune représente l’avenir, ceux qui croient à ce changement de société, de rapport de force. Pour autant, elle n’est ni particulièrement sympathique ni particulièrement gentille.
J’ai appris très vite l’existence du projet, et j’ai su qu’il y aurait un personnage de la famille de Dame Ginette. Mais je ne la joue pas comme Dame Ginette. Elle, elle a vraiment une ligne, une fonction, elle représente la faction extrême du peuple Les Sans-culotte".
Ary Abittan: Lorenzo Baldini, Marquis de Portofino
"Christian m’a proposé le film juste après Qu’est-ce qu’on a fait au Bon Dieu ? » J’ai lu et j’ai tout de suite accepté parce que j’ai ri à chaque page. Mon personnage, Lorenzo Baldini, marquis de Portofino, rencontre Godefroy et Jacquouille en prison, et il se colle à eux parce qu’il se dit qu’avec ces deux-là, il est tiré d’affaire. Il ne les lâche pas pendant tout le film. C’est un pleutre, un peu séducteur, proche de la guillotine, mais dès qu’il y a une petite nana qui passe il oublie, ça le réjouit."
"Étant un marquis, il appartient à une famille d’aristocrates. Il est sur le point de passer à la guillotine quand il tombe sur Godefroy et Jacquouille, et il se dit : « Qui sont ces gens qui parlent un français d’une campagne fort reculée ? ». Rien que de lire cette réplique, ça m’a donné envie de faire le film !"
"Étant un marquis, il appartient à une famille d’aristocrates. Il est sur le point de passer à la guillotine quand il tombe sur Godefroy et Jacquouille, et il se dit : « Qui sont ces gens qui parlent un français d’une campagne fort reculée ? ». Rien que de lire cette réplique, ça m’a donné envie de faire le film !"
Alex Lutz : Robert de Montmirail
"J’incarne Robert de Montmirail, le beau-fils de Karin Viard, la comtesse – qui est magnifique dans ce rôle et très drôle. Je suis aussi le frère de Gonzague de Montmirail, interprété par Franck Dubosc. Je suis très conscient de ma noblesse et assez fataliste : je ne suis pas dupe sur la direction où la Révolution va nous emmener.
À cause du droit d’aînesse, Franck Dubosc, mon frère, a tout. Lui est prorévolutionnaire, il croit à une révolution qui pourra créer une monarchie constitutionnelle, mais Robert, mon personnage, n’a plus rien, c’est un noble déshérité qui n’aura que les miettes. Tous ses avantages, son patrimoine, tout cela disparaîtra. Cela fait de lui un personnage assez marrant car il est cynique et frustré, mais courageux quand même : son éducation l’oblige à prendre en main la situation quand il le faut. Il a le sens de l’honneur.
Robert est un noble campagnard qui possède un domaine en Dordogne. C’est un être assez terrien, agacé par tout ce mouvement, par tous ces imbéciles autour, par ce Jacquouille qui pue, par les Autrichiens… Cela ne l’arrange pas du tout, cette Révolution française !"
À cause du droit d’aînesse, Franck Dubosc, mon frère, a tout. Lui est prorévolutionnaire, il croit à une révolution qui pourra créer une monarchie constitutionnelle, mais Robert, mon personnage, n’a plus rien, c’est un noble déshérité qui n’aura que les miettes. Tous ses avantages, son patrimoine, tout cela disparaîtra. Cela fait de lui un personnage assez marrant car il est cynique et frustré, mais courageux quand même : son éducation l’oblige à prendre en main la situation quand il le faut. Il a le sens de l’honneur.
Robert est un noble campagnard qui possède un domaine en Dordogne. C’est un être assez terrien, agacé par tout ce mouvement, par tous ces imbéciles autour, par ce Jacquouille qui pue, par les Autrichiens… Cela ne l’arrange pas du tout, cette Révolution française !"
Les acteurs belges
La comédie « Les Visiteurs : La Révolution » fait la part belle aux acteurs belges : Stéphanie de Crayencour (Victoire-Eglantine de Montmirail), Erik de Staercke (Duc Hollandais), Jean-Luc Couchard (l'accusateur Legendre), Christel Cornil (Simone Marat), Christian Hecq (Jean-Paul Marat) et Elliot Goldberg (Thibaut de Montmirail).
© 2016 GAUMONT / OUILLE PRODUCTIONS / TF1 FILMS PRODUCTION / NEXUS FACTORY / OKKO PRODUCTION
Les Visiteurs: La Révolution sera disponible dans le catalogue à la demande de Proximus TV dès le 6 août 2016.
© 2016 GAUMONT / OUILLE PRODUCTIONS / TF1 FILMS PRODUCTION / NEXUS FACTORY / OKKO PRODUCTION
Les Visiteurs: La Révolution sera disponible dans le catalogue à la demande de Proximus TV dès le 6 août 2016.
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